Le FDDI est une topologie réseau constituée de deux anneaux :
L’anneau primaire assure la transmission de données. L’anneau secondaire assure la détection et la correction des erreurs.
La technologie FDDI utilise en générale la fibre optique multimode comme support de transmission. Elle
fonctionne avec un débit nominal de 100Mbit/s pour une distance maximal de 100km, et peut supporter jusqu’à 1000
stations.
Cependant il faut noter qu’une version FDDI sur paire torsadée existe. Il s’agit de TPDDI (Twisted Pair Distributed
Data Interface). Il fonctionne avec un débit de 100Mbit/s sur une distance de 100m.
L’un des plus grands avantages du FDDI est que s’il y a une rupture de l’anneau ou si une station tombe en panne, le réseau continue de fonctionner.
Le FDDI utilise la méthode d’accès par jeton. Dans cette technologie, seule la station ayant le jeton a le droit d’émettre. Le protocole du jeton temporisé (Timed Token Protocol) est contrôlé par 3 éléments :
La couche physique comprend deux sous couches qui sont :
La couche liaison est constituée aussi de deux sous couches qui sont :
La couche SMT (Station ManagemenT) assure la surveillance du fonctionnement du réseau en surveillant l’activité des couches PMD, Phy et MAC.